Laurence Fritsch vit près de Paris et s’évade dès qu’elle peut dans les montagnes pyrénéennes. 

Ecrire de la poésie est une seconde peau. De mues en mues, les poèmes avancent. D’abord dans des carnets, des pages volantes, des bouts de papier ou dans des notes numériques. Enfin, les doigts martèlent le clavier en couches circulaires. Elle écrit une poésie minimaliste. Amoureuse des jeux de langue, inspirée par Michel Leiris, elle lance ses propres « gloses » sous forme de "lapidaires".

Elle publie régulièrement des poèmes sur Facebook et Instragm. Son premier recueil, Supplique pour la fin des nuits sans lune (Pierre Turcotte, 2023), plonge le lecteur dans un imaginaire nocturne où l’on retrouve des traces de Blake, Young ou Sand. Son deuxième recueil, Ses semelles sont d’écorce (Bleu d’encre, 2024), explore les sinuosités des écorces, des territoires où la vie à la mort se conjuguent.

Ses poèmes ont également été accueillis dans les revues françaises et belges comme Les Haleurs, Dissonances, Margelles, Traversées, Bleu d’Encre, Miroir, Poéthisme, OuPoLi, hélas!, Lichen, Traction-Brabant ou Vif. 

Elle cherche pour hélas! les voix d'hier et d'aujourd'hui et traque les coquilles dans la revue !

Bibliographie
- Ses semelles sont d'écorce, Bleu d'encre, 2024
- Supplique pour la fin des nuits sans lune, Pierre Turcotte Éditeur, 2023

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